Cherche vérité désespérément !

Un billet d'humeur signé
Marie-Hélène CARLIER et Denise RIDARD.










La nouvelle municipalité dans le MDH N° 493 nous annonce un heureux événement :

La réouverture des crèches les Pins et Eglantine.

Toujours modeste quand il s’agit des réalisations de la municipalité précédente, madame la sénatrice maire annonce que seulement 30 petits montreuillois supplémentaires pourront être accueillis.

Que çà ! où est passé le multi accueil qui offrait un accueil pour Eglantine de 50 enfants à temps partiels et 40 à temps complet, soit 90 enfants et non 70, de même pour les Pins la capacité totale d’accueil sera de 110 enfants et non 80 comme vous l’annoncez.

Quant aux coûts des travaux, ils sont certes conséquents puisque l’ensemble du  bâti est refait, de nouveaux aménagements, notamment en économie d’énergie. Que l’espace de vie intérieur et extérieur des enfants a été optimisé, que les cuisines ont été mises aux normes et que le choix de maintenir la confection des repas des bébés sur place a été fait.

D’ailleurs à ce sujet où en sont également les travaux de la deuxième phase de la crèche Picasso, de sécuriser la cour des bébés et d’optimiser le multi accueil. Travaux fait avec l’école maternelle.

Décidément votre calculette solaire manque d’énergie, car ce sont 3 projets de 90 places et non 2 qui sont inscrits au contrat enfance signé par l’équipe de JP Brard et la Caisse d’Allocations familiales.

1 Crèche collective rue de Vitry, rue Ernest Savart et la dernière rue de Rosny prévue avec une maison de retraite.

Vous avez dit pollution, vestiges, rien  de nouveau sous le soleil, la ville a toujours résolu ces complications techniques. La nouvelle municipalité renoncerait elle devant les difficultés. Plus aucun terrain est épargné. Rappelez- vous l’école Louise Michel, le centre pour autistes des Bons Plants, l’écuelle préhistorique de l’immeuble de la rue de l’église.

« La Transparence »

Il ne faut pas confondre la CAMA (commission attribution des places en crèches) et permanences d’élus. La CAMA a toujours été le lieu où ont été décidées d’une façon collégiale avec l’ensemble des directeurs de crèches, les admissions. 

Les permanences d’élus elles permettaient d’écouter les familles et ainsi de bien connaître les dossiers sans jamais promettre une quelconque place, de les orienter dans leurs recherches vers les différentes solutions possibles. Mais évidemment il est plus simple de répondre non par courrier que de recevoir la population.

        

Denise  Ridard et Marie Hélène CARLIER